Au Congo, les crimes rituels sont connus sous le nom de kata-kata (« trancher », en lingala). Le phénomène est répandu, mais la justice peine à traduire les coupables en justice.
Les chiffres publiés vendredi soir par la Commission électorale nationale indépendante (Céni) congolaise lors d'une retransmission en direct depuis le centre Bosolo ("vérité" en lingala ...